Au début, il y a un territoire qui se questionne : sur une identité collective créatrice de liens, sur sa capacité à revitaliser son bourg, sur ses leviers d’actions et forces vives locales, sur la meilleure manière de transmettre ses histoires, sur les temporalités de son renouvellement, sur la programmation d’un évènement… et d’autres interrogations possibles, spécifiques à chaque lieu et à chaque personne qui l’habite.
Ensuite, il y a la sollicitation d’un regard extérieur, d’une compétence externe, d’une expérience complémentaire. Non pas pour imposer une vision surplombante, déconnectée des problématiques quotidiennes et des solutions justes et maîtrisées, mais pour comprendre les particularités du lieu, collecter les récits et les envies, mettre en débat les solutions.
Pour permettre tout cela, tout terrain fait le choix de se déplacer sur le terrain de prendre le temps de l’échange. C’est ce que nous nommons (et nous ne sommes pas les seul·e·s !) : les résidences de territoire.